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DIRTY DANCING

1963, Bébé (Jennifer Grey) a dix-sept ans et passe des vacances ennuyeuses en famille au sein de la pension Kellerman. Pour fuir les soirées guindées de fox-trot, elle sympathise avec les employés de l’hôtel qui, la nuit, en toute clandestinité, se livrent à des danses sulfureuses. Aimantée, elle se découvre une passion pour la danse. Et pour son professeur, Johnny Castle (Patrick Swayze).

 

3 bonnes raisons de regarder :

 

1) Pour retrouver nos émois d’adolescente. Parce que nos potes aussi, dans les années 80, arrivaient en soirée comme Patrick Swayze, le cheveu gominé, les hanches prêtes à chavirer, en balançant « Salut les nazes ! ». Et ça les posait là. Oui, cette romance musicale nous raconte le délicat passage à l’âge adulte, l’éveil du corps à la sexualité, sans hésiter à aborder, au passage, des sujets bien plus graves (l’avortement dans la clandestinité, les inégalités sociales).

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2) Pour le plaisir de réentendre les répliques cultes qu’on connait par cœur. Et on met bien sûr « On ne laisse Bébé dans un coin » tout en haut de la pile. Parce qu’après avoir visionné Dirty Dancing une bonne douzaine de fois, soyons honnête, on est prêtes à lâcher à la première date Tinder qui passe : « Tu n’as pas besoin de courir le monde après ton destin comme un cheval sauvage, Johnny ! ». Cocon, cocon… Mais nous avons aussi beaucoup appris de Patrick Swayze, et nous n’hésiterons pas à rappeler à Johnny quelques règles de bonne conduite : « Tu n’envahis pas mon espace, je n’envahis pas ton espace ». Ok Bébé ?

 

3) Parce que la scène finale et le fameux porté sur la chanson « I’ve had the time of my life » est une raison à elle seule de revoir le film, et explique sans doute que Dirty Dancing soit un film dont on ne lassera probablement jamais. Et avouez-le, vous aussi, comme Ryan Gosling et Emma Stone (Crazy Stupid Love), comme Romain Duris et Vanessa Paradis (L’arnacoeur), vous vous êtes essayé au porté avec votre mec dans votre salon, ou peut-être dans la Méditerranée. Non, c’est que moi ?

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