

500 DAYS OF SUMMER
( (500) JOURS ENSEMBLE)
Tom (Joseph Gordon-Levitt) est un garçon sensible qui rêve de bâtir des buildings et une histoire d’amour qui dure toujours. Quand il rencontre Summer (Zooey Deschanel), la nouvelle secrétaire de son patron, c’est le coup de foudre. Qu’importe si elle ne croit pas au grand amour et refuse de s’engager, Tom, s’attaque à son Everest amoureux. Une traversée tumultueuse qui durera 500 jours. Pour le meilleur, et parfois pour le pire.
3 bonnes raisons de regarder :
1) Pour la dédicace d’ouverture du film, absolument jouissive, et qu’on a tous rêvé de
faire avec un nombre plus ou moins exhaustif de nos ex :
« The following is a work of fiction.
Any resemblance to persons living or dead is purely coincidental.
Especially you Jenny Beckman.
Bitch. »
Marc Webb (c’est le réalisateur du film), on est avec toi !
2) Parce que pour une fois, les rôles sont inversés : ici, pas de fille transie d’amour et
de mec insensible, archétypes usés jusqu’à l’os de la romcom traditionnelle. C’est
tout le contraire et ça fait un bien fou. Et quand Joseph Gordon-Levitt se lance dans
une choré endiablée en pleine rue après sa première nuit avec Summer, on se dit
que la sensibilité masculine est tout simplement irrésistible !
3) Parce que ce film est un bonbon acidulé à la pop britannique, tendre, pétillant et
délicat, qui retrace avec éclat et réalisme la recette d’une relation amoureuse ratée.
Et ça, c’est toujours utile ! Surtout, il nous permet de déculpabiliser un max de nos
ruptures passées en nous rappelant que chaque rupture nous permet de nous
recentrer sur nous-mêmes et sur nos rêves. Et que l’amour véritable existe, c’est
juste qu’on a la mauvaise manie de le chercher avec la mauvaise personne et au
mauvais moment…